Et si vous n’avez pas encore de bateau (ou pas envie de gérer tout ça tout seul), vous pouvez passer par des pros qui connaissent la région comme leur poche. Jetez par exemple un œil à https://emeraude-navigation.com : ils organisent des croisières en Bretagne et ça peut clairement simplifier la vie.

Jour 1 : Départ de Saint-Malo

Impossible de commencer ailleurs. Saint-Malo, c’est le décor parfait : les remparts, l’histoire de corsaires, et ce petit frisson quand on sort du port pour affronter les premières vagues. Perso, je conseille d’arriver la veille pour flâner dans la vieille ville et manger une galette (ou deux).

Jour 2 : Cap sur les îles Chausey

À seulement 15 milles nautiques de Saint-Malo, les Chausey sont un joyau. Archipel de plus de 300 îlots à marée basse (oui, 300 !), c’est un vrai terrain de jeu pour les navigateurs. Le mouillage est superbe, mais attention aux courants et aux marées, il faut viser juste. Quand la lumière décline, l’ambiance est presque irréelle.

Jour 3 : Direction Cancale et la baie du Mont-Saint-Michel

Navigation plus tranquille mais paysages incroyables. Cancale, c’est l’escale gourmande par excellence. Huîtres fraîches sur le port, avec vue directe sur le Mont-Saint-Michel au loin… avouez que ça vend du rêve ? Le soir, mouillage au calme dans la baie, si la météo le permet.

Jour 4 : Côte d’Émeraude et Dinard

Retour vers l’ouest pour longer la Côte d’Émeraude. Le nom n’est pas volé : la mer prend des reflets verts, bleus, turquoise… selon l’heure et la lumière. Escale sympa à Dinard, plus chic que Saint-Malo, mais tout aussi photogénique. Idéal pour une petite pause à terre.

Jour 5 : Cap Fréhel et l’archipel des Ébihens

Là, on passe à la vitesse supérieure côté paysages. Cap Fréhel, ses falaises abruptes et son phare mythique : c’est spectaculaire vu de la mer. Juste avant, petit détour conseillé vers les îles Ébihens, un bijou méconnu, parfait pour un pique-nique improvisé.

Jour 6 : Île de Bréhat

Surnommée “l’île aux fleurs”, Bréhat est un arrêt incontournable. Ambiance paisible, végétation luxuriante, sentiers de promenade… on a presque l’impression d’avoir quitté la Bretagne pour une île plus méditerranéenne. Le mouillage est superbe, mais souvent fréquenté en été, donc mieux vaut arriver tôt.

Jour 7 : Retour vers Saint-Malo

Dernier jour, dernier bord. On reprend le chemin vers Saint-Malo, avec cette sensation étrange que la semaine a filé trop vite. Selon la météo, on peut choisir de longer la côte ou de filer au large pour une navigation plus sportive. Dans tous les cas, c’est le moment de profiter une dernière fois de l’air iodé et de se dire qu’on reviendra.

Conseils pratiques pour réussir sa croisière

• Météo : en Bretagne, ça change vite. Toujours vérifier avant de lever l’ancre.
• Marées : c’est la base ici, surtout aux Chausey. Renseignez-vous bien sur les horaires et coefficients.
• Budget : comptez entre 800 et 1200 € par personne pour une croisière avec skipper d’une semaine, selon la saison et le confort.
• Sac à emporter : vêtements chauds même en été, crème solaire, et surtout… des bottes ou chaussures qui ne craignent pas l’eau.

Alors, prêt à embarquer ?

Une croisière en voilier en Bretagne, c’est un condensé de paysages magnifiques, de navigation technique et de moments simples mais inoubliables. Que vous soyez débutant ou marin aguerri, la région a toujours quelque chose à offrir. Et franchement, une semaine en mer là-bas… ça marque pour longtemps.

Tu veux te faire une idée plus précise des coins où camper au fil de l’eau ? Jette un œil sur https://www.camping-et-riviere.fr, c’est une mine d’infos et d’adresses sympas si tu cherches un camping au bord d’une rivière ou d’un lac. Super bien foutu.

Les plus beaux campings au bord d’une rivière

Il y a quelque chose de spécial à dormir près d’une rivière. C’est vivant, c’est calme (enfin, sauf quand t’as des grenouilles insomniaques), et c’est souvent moins blindé que la côte. Perso, j’adore l’ambiance des gorges et des vallées encaissées.

Les Gorges du Verdon : Alors là, on tape dans le haut du panier. Eau turquoise, falaises vertigineuses, descentes en kayak, baignades dans des criques… Les campings dans le coin, comme ceux autour de Castellane ou Moustiers-Sainte-Marie, sont souvent à deux pas de la rivière. Et franchement, te réveiller face à ce décor, c’est un shoot de bonheur.

L’Ardèche : Classique, mais efficace. Beaucoup de monde en été, c’est vrai, mais l’ambiance est géniale. Si tu veux éviter la foule, vise le nord de l’Ardèche, plus sauvage. Les campings à Vallon-Pont-d’Arc sont super bien situés pour alterner baignade, rando et barbecue au bord de l’eau.

La Dordogne : Gros coup de cœur. C’est calme, c’est vert, et il y a plein de villages magnifiques à explorer (genre Beynac, La Roque-Gageac…). Les rives sont faciles d’accès, donc parfaites pour les familles. En bonus : tu peux faire de la gabarre ou du canoë tranquille.

Camper au bord d’un lac : le calme absolu

Tu veux du silence, de l’espace, et de l’eau plate comme un miroir ? Direction les lacs. C’est souvent plus frais en été (yes !), et il y a moins de vent que sur la côte. En bonus : t’as souvent des petites plages planquées où te poser peinard.

Le lac d’Annecy : Bon, on ne va pas se mentir, c’est pas le coin le plus sauvage. Mais quelle claque ! L’eau est ultra claire (elle dépasse souvent les 22°C en été), les montagnes se reflètent dedans… c’est presque trop parfait. Et en plus, tu peux te balader à vélo tout autour. Les campings sont nombreux, mais mieux vaut réserver.

Le lac de Serre-Ponçon : Plus grand, plus brut. Si tu cherches un cadre alpin sans trop de monde, c’est un bon choix. On y trouve des criques, des plages, des spots pour le paddle… et une ambiance un peu plus “aventure” que les lacs de Savoie.

Les lacs du Jura : Moins connus, et franchement sous-côtés. Le lac de Chalain, de Vouglans ou celui de Clairvaux, c’est la nature à l’état pur. Eau verte, forêts à perte de vue, et campings souvent en mode “familial roots” – j’adore.

Et la mer dans tout ça ?

Oui, la mer aussi, évidemment ! Mais camper vraiment *au bord* de la mer, en France, c’est de plus en plus réglementé. Pas de camping sauvage sur les plages, mais y’a quand même moyen de trouver des campings bien placés, littéralement les pieds dans l’eau.

La presqu’île de Giens (Var) : Petit bijou de la Méditerranée. Certains campings donnent direct sur la plage, ambiance pinède et sable chaud. T’as accès aux îles d’Hyères, des spots de snorkelling incroyables… mais c’est pas donné. Et faut aimer la promiscuité.

Le Finistère Sud : Beaucoup plus sauvage. Dans le coin de la pointe de la Torche ou vers Concarneau, y’a des campings qui bordent des plages de sable fin, avec les vagues de l’Atlantique en fond sonore. Prévois le coupe-vent (toujours), mais l’ambiance est magique.

Le bassin d’Arcachon : Oui, c’est touristique. Oui, c’est plat. Mais c’est aussi parfait si t’as des enfants. L’eau est calme, t’as plein de pistes cyclables, et certains campings sont collés aux plages du bassin. Perso, je trouve ça hyper reposant.

Quelques conseils pour bien choisir son spot

– Checke la météo : Camper au bord de l’eau, c’est top… sauf quand il pleut non-stop. Les orages d’été peuvent transformer un terrain sympa en gadoue géante.
– Privilégie les campings à taille humaine : Moins de monde = plus de calme, plus d’espace, plus de nature.
– Regarde les avis sur le bruit : Le bord de l’eau attire aussi les fêtards parfois. Si tu veux dormir tranquille, évite les campings trop festifs.
– Anticipe en haute saison : Certains coins affichent complet dès le printemps. Réserver à l’avance, ça peut sauver tes vacances.

Alors, on part quand ?

Voilà, t’as de quoi te faire un bon roadtrip ou un séjour relax au bord de l’eau. Que tu sois solo, en couple, en famille ou en bande, camper au bord d’une rivière ou d’un lac, ça change tout. C’est plus authentique, plus proche de la nature, et – soyons honnêtes – bien plus cool que les grosses stations balnéaires blindées.

Alors, t’as déjà une destination en tête ? Ou t’es encore en train d’hésiter entre rivière et mer ? Dis-moi, c’est quoi pour toi, le spot parfait pour camper les pieds dans l’eau ?

Ce qui change tout ? Le choix des étapes, le rythme, et surtout les campings. Il y en a qui sont vraiment pensés pour les familles, avec des jeux, des piscines, des sanitaires propres (très important), et parfois même des clubs enfants. Si tu veux un bon point de départ pour repérer ce genre d’endroits, jette un œil ici : https://www.camping-enfant.eu. Franchement pratique pour éviter les mauvaises surprises à l’arrivée.

Un itinéraire en van pensé pour les familles

Voici un itinéraire sur 10 jours, testé et approuvé. Pas trop de route chaque jour, des pauses sympas, et des campings où les enfants peuvent vraiment s’éclater.

• Jour 1-2 – Annecy : Lac, baignade, pédalo, vieille ville. Et un camping au bord de l’eau. Tout le monde dort bien après ça.
• Jour 3 – Chambéry → Grenoble : On coupe la route avec une rando facile dans le massif de la Chartreuse. Spot pique-nique au col de Porte = top.
• Jour 4-5 – Parc naturel du Vercors : Grottes, lamas, via ferrata pour les plus grands. Et beaucoup d’espace.
• Jour 6 – Montélimar : Pause nougat, balade en ville. Idéal pour recharger les batteries.
• Jour 7-8 – Ardèche : Canoë (dès 6 ans), baignades dans les gorges, camping avec toboggans… les enfants ne veulent plus repartir.
• Jour 9 – Parc des Cévennes : Ambiance forêt, feu de camp (dans les zones autorisées). Un peu plus sauvage, on adore.
• Jour 10 – Retour par le lac du Salagou : Paysages rouges, baignade et calme pour finir en beauté.

Conseils pratiques pour éviter les galères (ou presque)

Ne prévois pas trop de kilomètres par jour. 2h max, c’est l’idéal. Sinon, tu passes la journée à entendre “on est bientôt arrivés ?” en boucle.

Prépare des jeux faciles à sortir : Uno, livres audio, tableau blanc effaçable… C’est fou ce que 20 minutes de calme peuvent changer l’ambiance à bord.

Investis dans une glacière électrique. Sérieux. Les compotes froides, le fromage qui ne fond pas, les jus frais… ça vaut l’espace que ça prend.

Pense à la météo. Ça peut paraître évident, mais un van sous 35°C sans ombre, c’est pas une sieste bucolique. Privilégie les campings avec piscine ou coin ombragé.

Réserve à l’avance en haute saison. Même les spots “nature” affichent complet en août. Surtout ceux qui sont kids-friendly.

Comment choisir un bon camping pour enfants ?

Perso, je regarde toujours ces trucs-là :

• Aire de jeux récente : pas juste un toboggan rouillé qui grince.
• Sanitaires propres et bien pensés : cabines familiales, eau chaude réglable… ça change tout.
• Ambiance calme mais vivante : pas envie d’un camping boîte de nuit, mais un peu d’animation le soir, c’est sympa.
• Accès à la nature : rivière, lac, forêt… les enfants s’occupent tout seuls.

En résumé

Un road trip en van avec des enfants, c’est pas toujours reposant, mais c’est carrément enrichissant. Il y a des moments de chaos, des chaussettes mouillées, des disputes pour savoir qui dort où… mais aussi des fou rires, des paysages qui scotchent, des repas improvisés qui deviennent des souvenirs.

Et toi, tu te lances quand ?

Perso, j’ai longtemps été team hôtel. Mais je dois avouer qu’après quelques nuits passées sous les pins, avec le chant des cigales en fond sonore et le petit dej face au lever de soleil… le doute s’est installé. Et je suis tombé un peu par hasard sur ce site : https://www.camping-et-nature.com. Si vous cherchez des campings nature, bien situés et loin du tumulte des clubs de vacances, jetez-y un œil. Franchement, ça peut changer votre été.

Le camping : la nature, la vraie… et la liberté

Ce qui séduit dans le camping, c’est souvent ce côté simple, brut. Poser sa tente au bord d’un lac, faire un feu (là où c’est autorisé), cuisiner des pâtes sur un réchaud, dormir à la belle étoile… ça a un charme fou. Même les galères deviennent des souvenirs. Qui n’a jamais monté une tente sous la pluie en râlant et en riant à la fois ?

Et puis, en termes de budget, c’est imbattable. Une nuit en camping peut coûter entre 10 et 30 euros pour un emplacement, selon la région et les services. À ce prix-là, vous pouvez partir deux fois plus longtemps. Ou mieux manger. Ou louer un kayak.

Mais attention, tout le monde n’a pas envie de partager ses toilettes avec 80 inconnus. Et si vous aimez les matelas fermes, les moustiques risquent de vous convaincre que le camping, ce n’est pas votre truc.

L’hôtel : confort, tranquillité… et zéro logistique

Ah, l’hôtel. La chambre propre, la salle de bain privée, le lit fait à l’arrivée, le petit déjeuner qui sent le croissant chaud. C’est quand même agréable, surtout après une journée de marche ou de visite.

Côté budget, c’est plus costaud. En France, pour une chambre double correcte, il faut compter entre 70 et 120 euros la nuit. En haute saison, dans les coins touristiques, ça grimpe vite. Mais on paye aussi pour la tranquillité d’esprit. Pas besoin de trimballer une tente, pas de vaisselle à faire, pas de réveil à cause du voisin qui coupe du bois à 6h.

Et puis, certains hôtels ont un vrai charme : une vieille bâtisse en pierre dans les Cévennes, un boutique-hôtel avec vue mer, une chambre dans une maison d’hôtes tenue par un couple de passionnés… ça a du style. Et ça reste une belle option pour se faire plaisir.

Camping ou hôtel : que choisir selon vos envies ?

• Vous partez en famille avec des enfants ? Le camping est top. Ils peuvent courir, faire du vélo, se faire des copains. Et vous, souffler un peu.
• Vous avez envie de calme, d’un vrai lit, d’intimité ? L’hôtel est sans doute plus adapté.
• Vous aimez cuisiner, vivre dehors, improviser ? Le camping est fait pour vous.
• Vous êtes en road trip et changez d’endroit tous les soirs ? L’hôtel (ou les chambres d’hôtes) vous évitent de monter et démonter la tente à chaque étape.

Il y a aussi des solutions hybrides. Les glampings (campings « haut de gamme ») avec tente toute équipée, lit confortable, parfois même une petite salle de bain. Vous avez le charme de la nature sans les inconvénients du sol dur. Pratique pour les réticents du camping classique.

Quelques conseils pour bien choisir

1. Posez-vous la vraie question : de quoi avez-vous besoin pour vous sentir bien en vacances ? Du silence ? De confort ? De spontanéité ? D’activités pour les enfants ?

2. Comparez les prix… mais aussi les prestations. Un hôtel à 120€ avec petit dej inclus et parking gratuit peut revenir au même qu’un camping à 45€ + resto du soir + location de vélo.

3. Vérifiez les avis et les photos. Sur Google, Tripadvisor ou directement sur les sites. Un “camping nature” peut parfois être une vaste étendue de gravier. Et un hôtel 3 étoiles peut cacher une pépite ou un vieux piège à touristes.

4. Pensez à la météo. Oui, dormir en tente c’est génial… sauf quand il pleut non-stop. À l’inverse, une chambre d’hôtel sans clim au cœur de l’été, c’est pas non plus la fête.

Verdict ?

Franchement, il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse. L’important, c’est de choisir en conscience, pas par habitude. Certains voyages appellent le confort d’un bon hôtel, d’autres méritent le charme d’un feu de camp et d’un ciel étoilé. Et parfois, c’est bien aussi d’alterner. Histoire de ne pas s’enfermer dans une routine de vacances.

1. Ljubljana, Slovénie

C’est une petite capitale, mais avec un charme fou. En automne, les arbres le long de la Ljubljanica prennent des teintes orangées qui rendent chaque balade magique. L’ambiance est calme, presque douce, parfaite pour flâner dans les ruelles, grimper jusqu’au château (la vue au coucher du soleil vaut vraiment l’effort) ou s’arrêter dans un café à l’abri du vent.
Franchement, c’est une ville qu’on n’attend pas… et qui surprend.

2. Séville, Espagne

Tu veux du soleil sans te faire cuire la peau ? Va à Séville en automne. En été, c’est l’enfer (littéralement : 40°C à l’ombre). Mais entre fin septembre et début novembre, il fait 25, tu manges dehors à 21h, et t’as pas besoin de te battre pour entrer à l’Alcazar ou grimper la Giralda.
Et les tapas… bon, faut aimer l’huile d’olive, mais c’est pas un vrai problème.

3. Bruges, Belgique

Bruges en automne, c’est un peu comme un conte. Les canaux bordés d’arbres dorés, les pavés mouillés qui brillent sous les réverbères, les salons de thé où tu t’écrases avec une gaufre chaude… C’est touristique, oui, mais il suffit de marcher un peu à l’écart pour retrouver du calme.
Et puis cette odeur de chocolat chaud qui traîne partout… qui peut dire non à ça ?

4. Budapest, Hongrie

Une ville géniale pour un week-end prolongé. Les bains thermaux en extérieur, quand il commence à faire frisquet, c’est le vrai luxe. Surtout Széchenyi : tu te retrouves dans une eau à 38°C pendant que la brume monte autour de toi.
Ajoute à ça les vues depuis la colline de Buda, le marché couvert pour manger sur le pouce, et des prix qui restent corrects même en haute saison.

5. Porto, Portugal

Porto a un truc en plus. Peut-être parce que tout y semble un peu bancal, un peu usé, mais tellement vivant. En automne, il y a encore des jours à 22°C, tu peux boire un verre de vinho verde au bord du Douro sans te cramer la nuque, et visiter les caves de porto sans file interminable.
Et le coucher de soleil depuis le Jardim do Morro… laisse tomber, t’es bien.

6. Cracovie, Pologne

Tu veux un city trip pas trop cher et bourré d’histoire ? Cracovie, c’est une super option. Le centre historique est ultra mignon, facile à explorer à pied, et les couleurs d’automne rendent le parc Planty (qui entoure la vieille ville) franchement agréable.
Petit conseil : prends un café dans une librairie ou un bar planqué dans une cour intérieure, il y en a plein. L’ambiance est à la fois studieuse et détendue.

7. Bologne, Italie

On parle souvent de Rome, Florence, Venise… mais Bologne, en automne, c’est un bijou. Moins de touristes, beaucoup d’étudiants, une cuisine locale qui frôle la perfection (les tagliatelle al ragù, c’est pas juste des pâtes). Et les arcades te protègent de la pluie, au cas où.
C’est une ville où on prend son temps. Un café, un plat de tortellini, un verre de vin rouge. Rien d’urgent, tout va bien.

8. Édimbourg, Écosse

Oui, il peut pleuvoir. Mais franchement, ça colle à l’ambiance. Les feuilles qui tombent sur les pavés du Royal Mile, la brume sur le château, les pubs où tu t’enfiles un haggis (ou pas) au chaud… Édimbourg en automne, c’est une expérience.
Et puis Holyrood Park, avec ses collines dorées et le vent qui claque, c’est le genre de décor qui te met une claque douce.

9. Valence, Espagne

Moins connue que Barcelone, et pourtant… Valence est une ville ultra agréable à l’automne. Il fait encore bon, la plage est vide (mais pas fermée), et tu peux louer un vélo pour traverser tout le jardin du Turia sans croiser des dizaines de touristes.
La vieille ville est pleine de surprises, les marchés sont animés sans être étouffants, et la paella ici a le goût de la vraie. Pas celle pour touristes.

Et toi, tu pars où cet automne ?

T’as déjà testé l’une de ces villes à cette saison ? Ou t’as une pépite à recommander qu’on oublie souvent ? Quoi qu’il en soit, l’automne, c’est pas fait pour rester enfermé. C’est le moment parfait pour un city trip qui te ressource sans te ruiner. Alors… tu bookes quoi ?